Gkero

Une artiste, une marque

Gkero

Voici notre sélection ARTY DANDY issue de l’inventive marque Gkero.
Retrouvez la sélection en boutiques à Paris 3, Paris 6, en ligne et en livraison chez ARTY DANDY

Où acheter en ligne et retirer vos achats Gkero en boutiques :

46 rue de Turenne Paris 3 :  cliquez pour appeler > 09 81 82 28 88

1 rue Furstemberg Paris 6 :  cliquez pour appeler > 01 43 54 00 36

Boutique Gkero

Gkero histoire d'une marque

Gkero les incontournables objets de mode se retrouvent dans les selects shop ARTY DANDY

Historique

Gkero n’est pas une marque comme les autres… C’est une jeune artiste qui utilise le vêtement comme moyen d’expression.

Marguerite Bartherotte alias G.Kero dessine et peint depuis son enfance, des petits personnages sensuels qui swinguent avec style.

Sa rencontre avec la mode date de 2007.

En voyage à Rio de Janeiro, Philippe, son frère, cherche un t-shirt original. Déçu par les standard de la mode, il demande à sa sœur de lui envoyer un dessin pour se faire un tee-shirt plus personnel. C’est en voyant les photos de son frère sur la plage d’Ipanema avec le tee-shirt imprimé de son dessin que Marguerite a la révélation. Elle fera du vêtement son espace d’expression.

L’artiste commence à peindre sur les tee-shirts de ses ami(e)s. Les amis d’amis affluent dans son atelier à la pointe du Cap-Ferret. Une cabane en bois sous les pins face à l’océan.

Le frère et la sœur créent G.Kero en Aout 2011 avec un troisième associé, un ami d’enfance.

Partie de la toile primitive du tee-shirt, Marguerite Bartherotte alias “G.KERO” élabore avec son frère Philippe, des collections complètes. Teddy en cotton imprimées, teddy en soie, chemises en lin, en soie, ou en cotton. Blouses en viscoses, jupes longues, kimonos, sans oublier les tee-shirts…

La silhouette « GKERO » est élégante et légère, chic et désinvolte, originale mais toujours harmonieuse. Artistique et libre avant tout.

A un couturier célèbre qui affirmait que la chemise blanche était la base de tout, G.Kero répond avec humour : «Si tu fais un concert et que tu veux que la scène soit intéressante d’un point de vue graphique, tu ne mets pas une chemise blanche, sinon tu as l’air de Jérôme de la compta. Tout est une histoire de contexte.»

«Pour la créatrice, la base de la mode c’est comprendre son contexte.»

Marguerite, insolente, s’amuse à instiller de l’humour dans la mode.

«Il y a une légèreté qui me plaît beaucoup dans l’idée de peindre un sujet qui va être porté par quelqu’un. Je veux faire sourire, rendre heureux, ou provoquer la surprise».

Créer la surprise Marguerite y parvient avec sa célèbre chemise «Couple X» (une représentation originale du Kamasutra), composition audacieuse qui fait connaître la marque lorsque Kate Moss et Cara Delevingne s’en emparent en 2014.

G.Kero est une aventure artistique originale qui ne suit pas les tendances de la mode. Une mode envisagée non pas comme un diktat auquel on doit se conformer mais comme libre moyen d’expression. Geste de partage avec l’autre, auquel on s’adresse non pas comme cible marketing, mais comme destinataire d’un projet artistique.

Original

Lorsqu’on parle d’originalité on entend souvent « qui se distingue du commun, qui sort de l’ordinaire. »

Mais le mot a également une définition plus profonde et moins connue : « qui émane directement de son auteur ou de sa source, qui n’est pas une copie, une reproduction, une traduction, une refonte, une réinterprétation… »

Les pièces et les dessins de G.Kero sont originaux dans les deux sens du mot.

Ce sont les créations d’une artiste, Marguerite Bartherotte, signées de son nom d’artiste G.Kero

G.Kero n’est pas une marque d’imprimés impersonnels et anonymes. Vous savez d’où vient ce que vous achetez et qui a conçu les jolis dessins que vous portez.

Lorsque vous portez une chemise ou une blouse imprimée de petits surfeurs vous portez un vêtement original.

C’est Marguerite Bartherotte aka G.Kero qui a créé cette composition graphique en 2013 avec l’idée de multiplier les petits surfeurs en les séquençant comme des arrêts sur image dans différentes positions, retirant tous les éléments de décor qu’on trouvait jusque-là habituellement dans le traitement de ce sujet (palmiers, mer, animaux etc).

Cette composition graphique est le fruit de son imagination et de ses recherches artistiques.

Vous trouverez maintenant de nombreuses imitations de ces surfeurs G.KERO comme d’autres dessins originaux, par exemple ses danseuses, ses skieurs, ou ses plagistes… Mais lorsque vous portez G.Kero, vous portez le vêtement original.

Si vous faites attention aux détails vous remarquerez la richesse de la composition graphique, sa fraîcheur et sa spontanéité.

Lorsque vous achetez G.Kero vous êtes plus qu’un simple client, un simple consommateur, vous êtes un collectionneur d’art.

Nous vous remercions d’encourager et de promouvoir la création artistique, l’indépendance, la liberté et l’originalité.

Gkero éditions numérotées

A l’intérieur de chaque pièce G.Kero vous trouverez une étiquette sur laquelle sont inscrits son numéro de série, l’année d’édition et le nombre de pièce éditées.

G.Kero édite toutes ses pièces en séries limitées.

Ceci n’est pas une opération marketing mais le résultat naturel de notre manière de faire les choses à l’échelle individuelle plutôt qu’industrielle.

Chacun de nous est un être unique, pourquoi n’aurions-nous pas le droit de porter des vêtements rares ?

Dessiné en France, imprimé en Italie et fabriqué au Portugal dans des ateliers respectueux de l’environnement

Tous les dessins de la marque « GKero » sont créés par une seule et même artiste, Marguerite Bartherotte alias « GKero ».

Ceci est unique dans la mode où toutes les marques ont recours à des graphistes anonymes ou à une pluralité d’artistes.

Marguerite dessine les collections dans son atelier au Cap-Ferret, ou chez des amis. Artiste bohème, toujours en mouvement, elle crée aussi lors de ses voyages.

Les dessins sont imprimés sur des matières de qualité chez un imprimeur qui imprime les marques les plus prestigieuses de la haute couture italienne et française depuis les années 50.

La qualité des imprimés GKero n’a donc rien à envier aux plus grandes marques du luxe, avec ceci en plus qu’ils sont crées par une artiste dont vous connaissez le nom et non pas par des graphistes anonymes.

Les matières imprimées sont ensuite acheminées au Portugal afin d’être confectionnées dans des ateliers à taille humaine et respectueux de l’environnement, exclusivement tenus par des familles avec lesquels nous entretenons des rapports amicaux.

Nous restons fidèles à ces ateliers qui confectionnent nos créations avec passion et aiment leur métier.

Nous ne fabriquons pas nos pièces dans des pays lointains où des ouvrier(e)s bon marchés sont exploités dans des conditions inhumaines. Nous ne faisons pas sur le travail d’autrui des marges   indécentes. Nous privilégions les petits ateliers à taille humaine, respectueux de leurs ouvriers, amoureux du travail bien fait, ayant le souci de l’écologie, du prix juste et de la qualité.

GKero ne solde pas

Compte tenu de l’impact des activités industrielles sur la planète aujourd’hui, il est impensable de continuer à produire de manière dérraisonnée.

Nous avons pris conscience de cela aussitôt que nous avons commencé notre activité.

C’est pourquoi nous évitons la surproduction, produisons peu, et n’encourageons pas l’excès de consommation par les soldes.

Nous considérons les pièces que nous fabriquons comme des œuvres d’art durables.

Par respect pour notre notre travail et notre art, par respect pour ceux qui passent du temps à confectionner ces pièces et, par respect pour ceux qui finalement les achètent et les portent, nous évitons de dévaluer nos créations en les soldant.

Acheter moins mais acheter mieux, c’est le geste pour l’environnement que nous avons à cœur d’encourager.

GKero ne fait pas de publicité

La publicité fait partie de notre vie, c’est comme un bruit de fond qui nous dérange mais auquel nous nous sommes habitués. Nous n’avons jamais vraiment réfléchi au mal qu’elle peut faire…

Comme dit Souchon dans la chanson, foule sentimentale… On a soif d’idéal…

Nous ne faisons pas de publicité car nous ne voulons pas payer pour que l’on dise du bien de nous ou que l’on nous mette en avant, mais préférons être découvert par la magie du bouche à oreille, résultat d’un enthousiasme vrai, spontané et partagé.

Nous voulons promouvoir l’indépendance et la curiosité, un monde où l’argent n’est pas au centre de tout, mais plutôt la beauté et l’harmonie. Nous voulons vous laisser nous découvrir au hasard des rencontres de la vie et ne pas nous imposer par un matraquage publicitaire.

Prix juste

Nous faisons le maximum pour que le prix de nos pièces soit le plus proche possible du coût de fabrication (coût de la matière, de l’impression, et de la confection). Ceci est rendu possible par l’absence de budget publicitaire ou marketing.

Solidarité

Chaque année GKero fait don d’une centaine de pièces à des associations qui les commercialisent afin de récolter des fonds pour venir en aide aux plus démunis. Depuis sa création la marque a participé aux actions de l’association Arcat, de lutte contre le Sida, Charitic Angels…

GKero n’est pas simplement une marque de vêtement, c’est un projet qui s’écrit avec des dessins qui prennent vie quand vous les portez.

Les maîtres mots de ce projet sont liberté, vérité, harmonie, beauté. 

1. C’est qui c’est quoi “G.KERO” ?

GKero c’est un surnom que m’a donné un de mes frères. Il m’a vue chanter sur scène dans un bar et il m’a dit on «dirait Gisèle Kérozène ». Alors il faut que j’explique qui est Gisèle Kérozène » sinon vous comprendrez rien. Gisèle Kérozène c’est une sorcière dans le court métrage éponyme de Jan Kounen. J’ai quand même apprécié la référence. C’est un court métrage très drôle où des sorcières font la course sur des ballets volants en se tapant dessus. C’est assez punk, il y a du sang,  mais on y croit pas donc ça fait pas peur. C’est assez cartoonesque finalement.

J’ai donc appelé mon groupe de musique « Gisèle Kérozène » et quand je me suis mise à peindre sur des t-shirts je signais « G.Kero » parce que c’était trop long de signer Gisèle Kérosène. G.Kero est donc un surnom que m’a donné un de mes frère, c’est devenu ma signature d’artiste et plus tard le nom de la marque.

2.  Comment est-ce qu’on passe d’artiste-peintre à créatrice de mode ?

Je suis passée de la peinture au vêtement pour m’amuser davantage. C’est très simple. Peindre sur les tee-shirts de mes amis était plus marrant que dessiner des croquis dans un carnet. Je trouve qu’il reste beaucoup de choses à faire dans la mode avec la peinture.

3- C’est quoi le déclic qui t’a fait passer de la peinture sur toile à la peinture sur tee-shirt ?

En 2007 un autre de mes frères, Philippe, était à Rio de Janeiro en voyage. Il cherchait un t-shirt cool mais ne trouvait que des trucs ultra stéréotypés dans les boutiques, genre, l’affiche de Pulp Fiction… il m’a demandé de lui dessiner une jolie fille avec les seins nus, qu’il a ensuite fait sériegraphier sur un tee-shirt basic.

Il a pris une jolie photo de lui sur la plage d’Ipanema avec le tee-shirt. C’était l’été au Brésil. Moi j’étais dans mon école d’art à Bruxelles, c’était l’hiver,  il pleuvait, et je m’ennuyais. Je me suis dis pourquoi pas peindre sur des t-shirts ? Quelques mois plus tard j’avais quitté l’école et refait toute la garde robe de mes amis.

4- Avec votre marque, on est dans le t-shirt d’artiste, en quoi est-ce différent d’un t-shirt d’une autre marque de prêt-à-porter?

Il n’y a pas de peintres dans ce milieu, il y a des modeux qui s’inspirent de la peinture, qui prennent et collent partout ce qui a déjà été fait. On est pas dans la même démarche ! Je peins un tableau en imaginant le vêtement sur lequel il sera le plus fou, plus revendicateur et personnel.

5- GKero respire la joie de vivre, la bohème, avec une vraie légèreté un peu désinvolte. Comment est-ce qu’on conserve cet esprit en passant de la peinture au vêtement? 

La peinture est une discipline lourde et sérieuse: quand on peint un tableau on est en proie au doute, face à soi, c’est vertigineux ! La mode c’est beaucoup plus léger, on est tourné vers l’autre, on s’applique à le faire beau. Si on a longtemps dessiné pour les murs, dessiner pour quelqu’un est beaucoup plus chaleureux ! La réponse est donc dans la question !

6- Qu’est-ce qui vous inspire chaque saison? Des images, des artistes, des thématiques, des animaux, des couleurs de prédilection…?

Je marche sous les sapins au milieu des ours en hiver et dans la mer bleu en été. Je sors beaucoup dans la rue. La création est une réaction épidermique, une émotion plus qu’un projet. Si je dessine une collection d’été j’aime qu’on se sente en été en la regardant. Les saisons m’inspirent avec tout ce qu’elles aspirent sur leurs passages ! Tout, tout, tout, peux m’inspirer.

7- Qui sont les filles (et les garçons) qui portent GKero? Des muses (homme ou femme) en particulier ?

Ce sont des gens qui flash sur les dessins. 99 ans, 10 ans, bien portant ou pas, beau gosse ou pas, le dessin est un alphabet universel qui réunit et qui rend tout le monde beau. Je recherche l’harmonie, et pour les différences qu’on a avec les autres on a pas fait exprès, je dessine depuis très longtemps c’est tout ! L’originalité ça ne s’invente pas.

8- Pouvez-vous décrire une de vos journées de travail type? Le processus de création et la répartition des rôles de chacun. 

Philippe se lève très tôt et moi je me couche très tard. Je dessine, il met tout ça en musique. Il est le capitaine je suis le vent. Et on ne veut pas toujours aller au même endroit !

9- Comment sont produites les collections? Petite série? Editions limitées ? made in ? Un mot sur le travail de sérigraphie. 

On fait des éditions numérotées et limitées. C’est pas prémédité, c’est la nature du projet. On est petit et confidentiels et je fais beaucoup de dessins. De sorte que même si nous sommes distribués dans 26 pays, et dans plus de 160 villes,  on édite très peu de pièces et donc… peu de chances que deux personnes qui portent le même modèle se rencontrent… et si elle se rencontrent, elles auront certainement quelque chose à se dire !

10- Après avoir commencé avec des t-shirts, les collections s’étoffent de plus en plus pour former un vestiaire entier. Comment voyez-vous l’évolution de votre marque?

Nous sommes partis du t-shirt, nous faisons des sweats, des chemises, des jupes, des shorts, des robes, des blouses, des kimonos, des vestes… maintenant on a un total look G.Kero. Nous sommes vraiment un projet entre l’art et la mode, beaucoup le disent, c’est devenu une promesse récupérés par les pros du marketing, mais nous je crois que c’est vrai. A une époque ou l’art est devenu marketing, notre marketing à nous, c’est l’art. 

11- Vos projets pour le futur, ce qu’on peut vous souhaiter?

Même si ça marche très bien et qu’on est à 300 % de croissance dans une économie qui fait du surplace, tout est suspendu à un fil tant il est difficile de gérer une entreprise en France dans ce secteur quand on n’est pas millionnaire et qu’on s’auto produit. Les taxes sur le travail assassinent les petites entreprises et la création en France. Nous sommes une marque indépendante il n’y a pas de financier derrière ou de fond de pension américain :). On peut dire que ça relève de l’exploit, de l’exceptionnel, il faut avoir une tendance à l’héroïsme ! 

Quels seront vos avis sur les modèles Gkero ?

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Gkero
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Gkero
Description
G.Kero n’est pas une marque comme les autres… C’est une jeune artiste qui utilise le vêtement comme moyen d'expression.
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ARTY DANDY
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